Pour continuer dans la série « jungle de poche à adopter dans ton salon », ce ouistiti se prélasse sur sa branche en attendant l’autorisation de mettre le nez dehors pour rejoindre un nouveau foyer…
Si toi aussi tu veux des animaux rigolos à accrocher partout (même sur tes rétros de voiture), contacte-moi !
Petite expédition dans la jungle (de l’internet) pour m’aider à fabriquer un habitant de la jungle (amazonienne). Ajoutez à la recette : de la feutrine, du bambou, un cerclage en métal, plein de colle et quelques longueurs de fil à broder…
Vous obtiendrez un volatile au plumage chatoyant orné d’un bec de banane, dans son arbre perché…
Pour occuper mes weekends confinés, je trie mes matériaux de récup’ non encore utilisés. Et en fouinant, je me suis dit que l’heure de recycler le cure-pipe de la caisse à savon Red Bull était venue ! (il avait servi à fabriquer les épines des oursins de mer dans le décor de l’aquarium roulant…)
Que faire avec du fil de fer recouvert de petits poils soyeux noirs… ? Pas beaucoup d’imagination dans mon cerveau, et beaucoup de toiles d’araignées… MAIS OUI ! Fais une mygale avec !
Comme d’habitude, tout est fait à base de matériaux détournés ou recyclés, par exemple le cadre : une boite de cosmétiques recouverte d’un échantillon de papier peint…
Les couleurs de la mygale sont faites avec un peu de peintures acryliques cuivrée et argentées, appliquées au pinceau et brossées pour éviter que les poils ne boulochent.
Et j’avais tellement de matière première que j’ai pu faire trois araignées…
Je vais tester d’en planquer certaines dans le jardin pour voir si quelqu’un peut faire une syncope en les découvrant…
En tout cas le chat ne s’est pas laissé impressionner…
Dans la série des idées saugrenues, j’ai régulièrement celle de conserver des trucs et des machins, sous prétexte qu’«on ne sait jamais, ça peut surement être utile un jour». Et après je me retrouve à penser : «Bon, pourquoi j’ai gardé ces 36 boîtes en carton, je vais être obligée de fabriquer quelque chose avec !» Et comme j’ai aussi tout un stock de papiers, de mousse et de feutrine de récupération, j’ai de quoi bien occuper mes soirées…
Et ce soir là, j’ai décidé de construire du logement social pour princesse chevelue en détresse…
Y’a plus qu’à poser une pancarte « Cherche colocataires, princesses et dragons acceptés »…
La tour du donjon est en boite de gâteaux apéros (ça commence par « Prine », ça finit par « Geuls »…), recouverte de papier et kraft de divers coloris. Les tuiles, la porte et la fenêtre sont en mousse, sculptée au scalpel. Le jardinou est en feutrine et carton, le tout est assemblé à la colle chaude et à l’adhésif double-face. L’isolation thermique n’est donc pas garantie !